samedi 8 décembre 2012

Case #8






8 comme la 8ème saison de "Desperate Housewives".

Et dernière saison qui vient d'être diffusée, ou les 8 années de captivité de Nicholas Brody, héros de la série "Homeland" qui vient de faire une razzia aux dernières remises de prix, outre Atlantique. Désormais incontournables dans le paysage audio-visuel mondial, les séries, qui ont su séduire par le format des épisodes et par le réalisme de certaines d'entre-elles, s'inspirent souvent directement de thèmes de la vie de la société, et inversement. En effet, Desperate vient de "couper", autant en On qu'en Off. Les lumières se sont éteintes sur les glycines et la justice a rendu son jugement dans un procès ayant opposé une actrice, sans doute désespérée, à la production, clivant ainsi les bonnes copines qui s'invitent chez leur voisine avec un gâteau ou une bouteille de vin, arborant un sourire digne du premier cours de fac dentaire. De là à ce qu'une série ne sorte sur les coulisses du procès qui semble avoir suscité l'intérêt du public, il n'y a qu'un pas. Un pas allègrement franchi dans la série "Modern family" où sont mises en scène des familles modernes, gays et mixtes, également distinguée par la profession. Pas sûr, cependant, compte tenu des débats hexagonaux actuels, que celle-ci cartonne chez nous. Ce qui est certain, cela dit, c'est que les séries sont entrées dans nos foyers, au point même d'être reprises par les publicitaires, toujours à l'affût d'un angle d'attaque, souvent révélateur.


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